Spécialiste du mobilier enfant depuis 2007
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« Des accessoires de déco faits avec amour pour le bonheur des enfants. »

Numero 74 insuffle un vent de délicatesse et de poésie dans la vie de tous les jours. La marque est créée en 2009 par deux cousines, l'une française (Poupy) et l'autre italienne (Nancy), avec le désir de proposer du mobilier vintage design pour les enfants. Aux débuts de Numero 74, les deux cousines chinent des pièces aux quatre coins du globe, mais elles se lancent rapidement dans la création de leur propre collection.
Numero 74 est une marque empreinte de magie, qui vous plongera dans un conte de fées, au cœur de lignes épurées, aux couleurs douces, subtiles et pétillantes. Les créations sont réalisées à la main, en Thaïlande, par des communautés de femmes qui mettent du cœur dans leur travail. Ces femmes, héritières d'un savoir-faire ancestral, réalisent avec amour des pièces uniques avec des matériaux de qualité, tels que la gaze de coton, si délicate et aérée. L'alliance du savoir-faire artisanal et du design unique donne naissance à des collections absolument exquises. Cœurs, papillons et étoiles sillonnent dans ce merveilleux paysage au look vintage. Numero 74 propose une large gamme d'accessoires de lit ou déco pour des chambres d'enfant ravissantes. Ce véritable voyage au pays des rêves séduira les enfants et les parents, avec des modèles chics et simples.
Retrouvez parmi la gamme : ciels de lit, rideaux, plaids, coussins, gigoteuses, bavoirs, draps housse, parures de lit, futons, tipi, guirlandes mais aussi de superbes déguisements originaux. Nous vous proposons donc de découvrir cette collection authentique et vous souhaitons un merveilleux voyage au pays du beau, de l'ancien et du doux.

Les univers
  • Bébé
  • Enfant
Les produits
Numero 74 en images
Rencontre
L'univers Numero 74 par sa créatrice, Poupy Sfez.
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Présentez-vous en quelques mots. Quel est votre parcours ?

Je ne suis pas toute jeune hein, j'ai 47 ans. Je suis née à Paris et j'ai étudié à l'Université Paris Dauphine en mathématiques appliquées aux sciences sociales. On va dire que je ne me suis pas vraiment épanouie, à la fois dans le monde étudiant, et dans ce domaine. J'aime les chiffres mais de là à les étudier pendant des années, ce n'était pas vraiment fait pour moi.

J'avais qu'une seule envie, c'était organiser des anniversaires d'enfants. Alors, j'ai arrêté et j'ai créé une société qui s'appelait Comme Dans Un Rêve et qui était spécialisée en événementiel pour enfants. Alors, au départ j'étais fée dans les anniversaires, ensuite il a fallu recruter d'autres fées parce qu'il y avait beaucoup de demandes. On était une toute petite compagnie de fées. Et ensuite on a été en charge des événements spéciaux, notamment à Disneyland Paris. Et une grande partie de notre activité était liée à ces animations sur le parc, là-bas. Donc, on organisait des grands événements et j'ai fait ça pendant une dizaine d'années, jusqu'à ce que je mette au monde un petit garçon, qui est né prématuré, grand prématuré. Il a fallu tout arrêter pour être plus près de lui. Ensuite, Zacchari mon fils, est allé de mieux en mieux.

Tout allait bien, j'ai pu reprendre une activité. On a monté, il y a maintenant 16 ans, un site, un e-shop, spécialisé dans la fête enfantine. Alors, à l'époque on était très précurseurs, c'était les premiers pas du e-commerce. Et cette activité était un petit peu trop en avance je pense, par rapport à notre temps. Voilà, c'est quelque-chose aujourd'hui qui fonctionne très bien mais à l'époque c'était plus compliqué. Une page mettait une minute à se télécharger, c'était vraiment tout nouveau pour tout le monde. Et pas assez épanouissant pour moi parce qu'en réalité, moi je ne suis pas quelqu'un de purement dans l'achat, la vente et l'informatique... mais plutôt dans le côté plus créatif, donc j'ai quand même fait ça, avec deux magasins en parallèle spécialisés dans la fête enfantine, pendant quelques années. Et j'ai arrêté.

Et c'est là que j'ai créé Numero 74, c'est ma troisième entreprise sur 25 ans d'activité.

Quand avez-vous créé Numero 74 et qu'est-ce qui vous y a conduit ?

J'ai créé Numero 74 en 2009. Au début, c'était principalement du mobilier vintage que je chinais un peu partout, et quelques pièces faites à la main. Et on avait effectivement monté un site de e-commerce. Et pour les mêmes raisons, qui sont que je préfère me consacrer à la production plutôt qu'à la vente, on a pris le parti pris de diffuser via des revendeurs et pas directement au grand public.

Ce qui m'a conduit à créer Numero 74 est qu'à ce moment-là, j'ai eu mon cousin qui a eu deux petits garçons, des jumeaux, et donc son épouse Nancy m'avait demandé de m'occuper de décorer la chambre des enfants. Donc j'ai chiné du mobilier et moi-même tricoté des couvertures. Et en voyant ça elle m'a sidérée, elle m'a dit « viens, on essaie de monter une activité ensemble pour faire ça. » J'étais un peu réticente parce que j'avais déjà beaucoup beaucoup travaillé et que je voulais m'octroyer une ou deux années de répit. Et finalement elle a réussi à me convaincre, et on a démarré l'aventure comme ça. Ça a été assez rapide, on a tout de suite obtenu un stand à Maison & Objet, en annulation de dernière minute. Donc il a fallu très vite créer une mini collection pour pouvoir présenter quelque-chose qui avait un peu plus de sens qu'uniquement présenter du mobilier vintage.

J'étais en Thaïlande à ce moment-là, donc c'est là-bas que j'ai commencé à faire fabriquer les premiers coussins, premières housses de couette et faire tricoter les premières couvertures.

Pouvez-vous expliquer ce qu'est Numero 74 en quelques mots ? Quelle est la philosophie de votre marque ?

Je vais avoir un petit peu de mal à qualifier parce que je ne considère pas vraiment ça comme une marque, parce que c'est juste mon mode de vie, c'est notre mode de vie à tous. Et j'essaie en parallèle de mon mode de vie de créer quelque-chose qui a un peu de sens et qui contribue à pouvoir, d'une part, de mon côté, nourrir ma créativité, et d'autre part, avec les gens avec lesquels nous faisons tout ça, contribuer à un mode de travail assez équilibré entre le temps qu'on va pouvoir consacrer à cette activité, qui nous permet de vivre financièrement, et à ce qui pourrait être nos rêves, nos passions, nos missions. J'essaie de faire un avec tout ça. Et donc c'est sur cette philosophie qu'est fondé Numero 74. C'est-à-dire qu'il n'y a pas vraiment de séparation entre les personnes qui travaillent avec nous ; ce sont aussi des amis, ils peuvent travailler n'importe quand. C'est plus un style de vie à proprement parler qu'un travail.

Ensuite, au niveau de ce que nous faisons réellement, c'est-à-dire fabriquer et produire des produits principalement destinés aux enfants, c'est assez simple, il n'y a pas de calcul, pas tant de recherche que ça. Ce sont des besoins mélangés à des idées, des rêves d'enfants et puis des rencontres.

Pourquoi avoir choisi ce nom, Numero 74 ?

On me pose beaucoup cette question. Alors, c'est tout simplement l'âge de Nancy, la maman d'Alessandro et Giovanni, avec qui j'ai créé à l'origine Numero 74, et mon âge, additionnés. Pour le logo, nous avons décidé de l'écrire « N°74 », car nous sommes d'origine latine – un mélange d'Italie, d'Espagne et de France – et cela se lit très bien dans ces trois pays-là, on comprend « numéro 74 ». Par contre, dans un pays anglophone par exemple, on ne le lit pas de la même façon. On a donc décidé de communiquer, en tout cas dans les textes, avec « Numero » écrit en toutes lettres ; sans accent car la marque n'est pas française. Comme ça, tout le monde peut le prononcer de la même façon.

Qu'apportent vos produits dans une chambre d'enfant ?

Je crois que le principal critère c'est que tout le monde puisse s'y reconnaître. Il y a une dizaine d'années, quand on ouvrait la porte d'une chambre d'enfant, on passait soudainement dans un monde très différent du reste de l'appartement. On était soit dans les roses, soit dans les bleus, majoritairement, avec quelque-chose de très prononcé, de très flash. Et je pense qu'en proposant cette particularité quand on a commencé, et on n'était pas nombreux à faire ça, on a sorti une gamme de couleurs très large et qui pouvait aussi bien répondre aux goûts de l'enfant qu'aux goûts des parents. Et donc soudainement la porte de l'enfant peut rester ouverte et ne va pas dénoter avec le reste de l'appartement. Ça, pour moi, c'est une particularité, cela apporte quelque-chose, non seulement à la chambre de l'enfant, mais aussi à l'ensemble du lieu de vie. Concernant, à proprement parler la chambre d'enfant, je suis plutôt no color, dans les choses assez simples, douces, avec une petite touche de poésie et de rêve, liée au conte de fée... mais pas trop compliqué. Et donc je pense que ça invite à la fois à quelque-chose de chaleureux, de cocooning et de rassurant, et de pas trop fort en termes d'identité, pour que l'enfant puisse inventer et créer ses propres rêves, plutôt que d'avoir quelque-chose de très fort et qui va bloquer l'enfant dans son imaginaire. C'est ce en quoi je crois. On voit beaucoup de chambres d'adolescent qui sont faites des mêmes composants que celles d'un enfant en bas âge. Ce qui va faire la différence ça va être la couleur, mais sinon on a énormément d'adolescents qui ont des chambres faites avec beaucoup d'articles de chez nous.

Qu'est-ce qui différencie vos produits par rapport à une autre marque ?

Je ne sais pas, je ne regarde pas du tout ce que font les autres. Ça c'est très important ! Ça me tétanise complètement. A l'époque, quand on faisait Maison & Objet, je ne pouvais pas me promener dans les allées. Alors, je n'allais que dans l'allée qui me permettait d'aller aux toilettes (rires). Je ne pouvais pas me promener dans les allées parce que, en réalité, ça génère beaucoup de frustration. A deux niveaux : soit parce que j'ai peur de voir chez quelqu'un un produit dont j'ai eu l'idée et je me dis « bah je vais pas le faire parce que quelqu'un l'a déjà fait » ; soit de voir une idée chez quelqu'un et me dire « bah moi je vais faire pareil ». Dans les deux sens, ça ne me convient pas. Je veux rester libre, et dans les deux sens.

Les créations Numero 74 sont réalisées à la main en Thaïlande, par des communautés de femmes. Pourquoi avoir fait ce choix ? Et pourquoi la Thaïlande ?

Je vais en Thaïlande depuis 25 ans et je suis tombée sous le charme de ce pays. A partir du moment où j'ai connu ce pays, c'est devenu mon unique destination de vacances quasiment. Et ensuite, quand j'ai eu mon fils Zacchari, il a rencontré en Thaïlande un bébé éléphant, qui avait le même âge que lui, qui s'appelle Doona, et il s'est créé une relation très privilégiée, très particulière avec cet éléphant ; mon fils était assez asocial et a été coupé du monde des enfants pendant plusieurs années parce qu'il était très fragile. Et donc j'ai contribué à le mettre au contact d'animaux parce qu'il s'est toujours senti bien auprès d'eux. Donc quand cette relation est née, c'était vraiment magique et donc on a essayé d'entretenir ça. Je suis allée de plus en plus souvent en Thaïlande. Puis quand on a eu l'idée avec Nancy de créer ça, au départ ce n'était que du mobilier vintage, et on a dit « il faut faire quelque-chose de plus ». Quand Maison & Objet nous a contactées pour nous dire qu'il y avait un stand qui s'était libéré, j'étais en Thaïlande et c'est là que j'ai dit « il faut que j'aille chercher du tissu, il faut qu'on fasse des coussins, des housses de couette » et donc j'ai fait ça sur place avec mon amie masseuse. Et je me suis dit « si on fait ces choses-là, c'est pour les faire ici, avec ces gens-là et dans telles conditions » et ça a été fait naturellement, comme ça.

Ensuite, quand le salon a fonctionné et qu'on s'est retrouvées avec des commandes à produire, là c'est devenu plus compliqué parce que j'étais sur une île (Koh Samui), avec une copine masseuse et ses trois autres copines, et puis elles n'ont pas pu produire ce dont on avait besoin. Donc, il a fallu partir à la recherche de personnes. Entre temps, l'éléphant avait déménagé et était parti vivre à Chiang Mai. Donc quand on partait avec mon fils, on passait la moitié des vacances à Chiang Mai pour voir l'éléphant et l'autre moitié sur l'île. Et donc j'ai rencontré des gens qui connaissaient un atelier à Chiang Mai. Je suis remontée à Chiang Mai et j'ai commencé à chercher des gens qui pourraient fabriquer. C'était un petit atelier, à la base, qui fabriquait des robes pour la Reine et la Princesse. Ils faisaient travailler des femmes à la maison. Parallèlement à ça, lorsque j'étais en Thaïlande, j'avais rencontré dans l'hôtel où on allait avec mon fils, un chauffeur de tuk-tuk, qui passait ses journées avec nous, à nous emmener voir l'éléphant, revenir... Et quand je suis montée à Chiang Mai pour essayer de trouver un moyen de produire les choses, cet homme qui s'appelle Manop, m'a accompagnée du matin au soir et a très vite compris ce que j'étais en train de faire et ce que j'étais en train de rechercher. Et donc un jour, je lui ai dit « mais tu crois que tu pourrais t'en occuper ? », il m'a dit « oui, on va trouver des femmes, on va fabriquer » et c'est comme ça que ça a démarré.

C'est le parfait match pour arriver à rendre réels tous ces désirs, tous ces rêves, et de fabriquer dans des conditions qui ont un peu de sens, toutes ces choses-là. Tout est fait sans une grande stratégie, c'est assez simple et ça se fait assez naturellement.

Quels sont les objets phares de votre collection ?

Le Canopy est un produit que l'on retrouve dans beaucoup de chambres d'adolescents, qui crée cette forme d'intimité mais tout en étant pas trop puéril. Indépendamment du fait que c'est notre best-seller, c'est l'article auquel je suis le plus attachée. Il sert à de multiples usages : aussi bien en ciel de lit sur un lit, qu'en tente de jeu, qu'en coin d'ombre dans un jardin… Et surtout, c'est un produit qui a été créé de façon complètement magique. Parce que le jour où j'ai eu cette idée et que je l'ai dessiné, j'étais en Thaïlande - nous avons notre bureau de prototypes dans notre atelier - et le premier échantillon est sorti exactement tel qu'il est aujourd'hui. Aucune modification n'a été faite, dès le départ, et il est rarissime de dessiner un produit et que le premier prototype soit parfait. Et il est sorti comme ça lui, on n'a jamais eu rien à modifier dessus. Il a un côté super magique je trouve. Il était abouti au premier essai. J'ai fait ça complètement à l'œil. Et je crois que les choses qui sortent naturellement, avec le cœur, avec l'intention assez simple de rêver et de faire naître les choses… je crois que ça véhicule quelque-chose qui est beaucoup plus fort qu'un objet qu'on aurait créé d'un point de vue stratégique pour arriver à acquérir des parts de marché ou concurrencer. Je crois très fort en cela.

Quels sont vos projets futurs ?

On est en train de travailler sur la prochaine collection, avec pour l'hiver une gamme adulte. Et pour la prochaine collection de 2018, on est en train de travailler sur plein de nouvelles choses, en élargissant encore notre gamme. On va essayer d'aller un peu du côté du jouet. On va également mettre en ligne un site internet d'ici un mois, qui ne va pas être un e-shop. Cela sera un site qui va permettre de mieux faire comprendre aux gens ce que nous faisons. Parce que la communication n'est pas notre fort, ce n'est pas là où on met de l'énergie, on fait les choses un peu naturellement, comme ça, et quand on en parle, beaucoup de gens découvrent. Alors, là je pense que les gens commenceront vraiment à découvrir ce que l'on fait. Il va y avoir un blog et puis tout une zone d'accès aux produits, sans pouvoir acheter mais que pour les clients aient connaissance de l'ensemble de nos produits et des spécificités. On va partager un peu de notre quotidien, pour que les gens comprennent mieux ce qui se cache derrière nos produits.

Parlez-nous un peu de votre projet avec la Fondation Loving Hands…

A travers la fondation, Numero 74 a décidé de contribuer à différents projets sociaux pour les enfants. Nous avons décidé que l'ensemble des bénéfices réalisés par Numero 74 seraient dédiés à soutenir des projets pour les aider à se reconnecter à la Terre, à acquérir certains savoirs liés à l'agriculture. C'est ce dont je rêvais. Et aujourd'hui, Numero 74 va me permettre de faire des choses plus en profondeur pour les enfants.

Si Numero 74 était un conte, lequel serait-il ?

Peau d'Âne. C'est l'histoire de mon enfance. J'ai été très proche de cette histoire, dans mon enfance et aussi plus tardivement. La princesse peut aussi bien vivre dans un château que dans une cabane dans les bois. Où qu'elle soit, c'est merveilleux. Pour moi, on peut voir la beauté et le merveilleux partout.

Où habitez-vous ?

J'habite entre l'Espagne, à Ibiza, où nous avons notre bureau d'administration et vente, et la Thaïlande où je m'occupe de la production. Et je ne suis en France que pour les showrooms. Mais j'ai gardé un numéro de téléphone français car ça a beaucoup d'avantages (rires), j'ai toute ma famille en France.

Décrivez la déco dans votre maison en quelques mots.

Ma maison à Ibiza est toute blanche, construite, bizarrement, en 1974 (rires). C'est une petite maison dans la montagne, à l'esprit ibizenco, assez classique avec des murs à la chaux. A l'intérieur, tout y est ancien ou vintage. J'ai beaucoup de mal à acheter des choses neuves. Je récupère ici (Ibiza) sur les marchés, parfois à côté de la poubelle. Dans ma maison à Ibiza, il y a du coton blanc de chez nous, qui vient de Thaïlande, plein de coussins, et des paniers. C'est à la fois dans le style d'Ibiza, tout en étant assez simple et avec des matières naturelles.
Et ma maison en Thaïlande est un peu plus colorée, c'est une maison à moitié ancienne et moitié récente, avec une structure en bois ancien, à laquelle on a rajouté une partie un peu plus moderne, en béton. Et là c'est une maison où on vit essentiellement à même le sol, salon et salle à manger à même le sol, avec tatamis et coussins et un peu de mobilier ancien, des bancs en teck, une multitude d'assiettes émaillées avec des fleurs au mur, un petit peu de couleur et toujours ce côté rétro, mais plus dans le style thaïlandais.

Où trouvez-vous votre inspiration ?

Elle vient de mes souvenirs d'enfance, et de l'enfance de mon petit frère qui a 8 ans de moins que moi. Je rentre à l'intérieur de moi, on va dire. C'est lié à mon côté rêveur, conte de fée, merveilleux ; je crois que les arbres parlent et que les fleurs me regardent. (rires) C'est de l'imaginaire tout ça.

Quel est votre passe-temps favori ?

Numero 74 c'est ma passion, c'est tout. Rien n'est séparé, donc c'est aussi ma famille, c'est un mélange de tout ça, c'est vraiment ma vie au quotidien. En parallèle, je commence à m'intéresser à tout ce qui est permaculture, autosuffisance,... donc j'y consacre du temps mais pour moi c'est aussi Numero 74, puisque c'est Numero 74 qui contribue à ça.

Racontez-nous un souvenir d'enfance rigolo.

Quand j'étais enfant, une fois j'étais assise dans la rue avec ma maman, puis on croise une amie à ma maman qui m'offre un bonbon. Et ma maman me dit « mais Poupy, qu'est-ce qu'on dit à la dame ? », eh bah au lieu de lui dire « merci », je lui ai dit « encore ! ». (rires)

Un mot pour décrire Filedanstachambre ?

Très doux mais aussi très ludique.

Chez vous
Faites-nous découvrir
vos plus belles ambiances !
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Dans la chambre de Théo Coussin Etoile Numero 74
Dans la chambre de Virginie Parure Gaze 240x220 cm Numero 74